Mouctar Diallo sur les GG : « Les instructions ont été données par le Président de la République et le Premier Ministre pour que les bavures ne viennent pas du côté des forces de l’ordre… »

2 - 11 - 2019 0

Dans une interview accordée ce vendredi 1er Novembre 2019 à nos confères de la radio espace Fm dans son émission « Les grandes Gueules, le ministère de la jeunesse et de l’emploi jeune, Mouctar Diallo s’est exprimé sur les cas des morts en Guinée pendant les marches organisées par l’opposition.

Dans un passé récent, membre de l’opposition républicaine et défenseur des victimes de violences politiques pendant les manifestations à la tête du NFD (Nouvelle Force Démocratique), également président des premières victimes des marches dont ‘’Zakariaou……’’ membre du NFD, Mouctar Diallo, campé sur sa position, a affirmé ceci: « Quand nous étions dans l’opposition, nous avons dénoncé les cas de violences et de tueries. Nous avons pointé un doigt accusateurs sur l’Etat, c’est constant et actuellement, nous considérons toujours que c’est l’Etat qui a la charge de faire la lumière sur tous ce qui s’est passé. Dans le cadre des manifestations du FNDC, nous avons discuté de ces questions-là et toutes les dispositions sont prises, les instructions ont été données par le Président de la République et le Premier Ministre pour que les bavures ne viennent pas du côté des forces de l’ordre et quand il y’a eu ce bilan nous avons exprimé notre indignation, nous étions étonnés et nous avons exigé que justice soit faite pour qu’on sache qui a fait quoi ».

Répondant la question d’un confère sur son retrait après 82 morts et si c’est possible qu’il y a des manifestants qui détiennent des armes, M. le Ministre a dit que cela est une réalité en Guinée : « Il y a des manifestants qui détiennent des armes même en dehors des manifestations, je connais des jeunes qui sont armés…».

Aly Bangoura












COMMENTAIRES

vendredi 10 mai 02:12:59

 
 

Montius nos tumore inusitato quodam et novo ut rebellis et maiestati recalcitrantes Augustae per haec quae strepit incusat iratus nimirum quod contumacem praefectum, quid rerum ordo postulat ignorare dissimulantem formidine tenus iusserim custodiri.

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